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Sylvie Uderzo porte plainte : l’affaire Astérix !

Sylvie Uderzo plainte

Au cœur de l’affaire Astérix se trouve Sylvie Uderzo, fille de l’auteur du gaulois qui porte plainte pour stopper une opération commerciale importante. Des conditions d’acquisitions mystérieuses, un héritage important et une somme importante, voilà tout ce qui se joue au sein de cette affaire.

Sylvie Uderzo dépose une plainte pour entraver la vente d’une planche originale d’Astérix et Cléopâtre. Une bataille juridique à venir qui met l’accent sur l’acquisition douteuse et la préservation de la volonté de l’artiste.

Plainte de Sylvie Uderzo pour des conditions d’acquisition douteuses

Sylvie Uderzo, par le biais de son avocate, a déposé une plainte contestataire à l’encontre de la vente d’une planche originale d’Astérix Mission Cléopâtre.

Une œuvre exclusive offerte par Albert Uderzo lors d’un dîner entre amis. À la disparition de l’auteur, la valeur de la planche augmente considérablement. Une planche qui devait principalement être mise en vente aux enchères par Millon. Ainsi, au cours des estimations, la valeur de la planche est montée à 500 000 euros, suscitant d’autant plus les regards des intéressés.

Une somme justifiée par le succès monstrueux de l’œuvre, autant dans les salles de cinéma, que sous forme d’animation et en format bande dessinée. En effet, Astérix Mission Cléopâtre est l’une des œuvres Astérix les plus appréciées.

De son côté, Arnaud de Partz, directeur général de la maison d’enchère Million Belgique précise être sûr de leurs droits, mais émet tout de même des doutes. En effet, certains doutes quant au droit d’acquisition de la planche par l’ami de Albert Uderzo. Une transaction certes licite, mais qui crée une tension palpable des parties concernées.

La plainte déposée par Sylvie Uderzo expose les tensions autour de la situation complexe qu’est le traitement d’œuvres autour d’artistes disparus. Elle met également l’emphase sur les sujets relatifs à l’héritage, autant culturel que matériel.