Critique de
Mégabras
Parodie de super-héros, le style de narration de Bouzard souvent assez sobre et s’ancrant dans le réel crée un décalage intéressant avec le récit classique du super-héros (l’Aspic du marais poitevin par exemple, le recruteur énigmatique de l’école).
Super Glin-Glin, l’ennemi de Mégabras, est assez marrant (rien que le nom me fait déjà rire).
Quelques passages très drôles. Sans être le meilleur de Bouzard, ça se laisse néammoins lire, le sourire aux lèvres.