Critique de
L’Epervier 8 : Corsaire du roy
Au bout de ce deuxième tome notre héros n’a pas encore atteint le Canada. A peine est-il au large des côtes françaises. Est-ce la faute de Patrice PELLERIN ou grâce à Patrice PELLERIN ?
En effet, de nombreux contre-temps bloque l’Epervier. Nous nous régalons des détails dans les dessins, des bonnes couleurs et de "l’ambiance".
A une époque, une publicité demandée à Monsieur Cadbury de faire ses fingers un peu plus long, nous souhaitons tous que Monsieur Pellerin continue à faire ses albums aussi riche mais avec un écart de parution entre deux albums, plus …….courts.