BD Maniac

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Le passeur d’Ames et La vie de Norman : Gagnez 4 Albums avec leur Ex-libris !

Après Walking Dead, on enchaîne sur un nouveau jeu concours en partenariat avec les Editions Makaka cette fois ci :)

Souvenez vous, il y a quelques semaines nous vous avons parlé de deux de leur albums (sortie le 13 Octobre prochain) que vous pouviez pré-commander sur le site de l’éditeur. Cette semaine nous allons vous faire gagner 2 exemplaires de “La vie de Norman : Tome 2” et 2 exemplaires de “Le passeur d’Âmes” accompagné de leur Ex-Libris numéroté et signé par les auteurs !

On change les habitudes car cette semaine tout va se passer sur le site BD Maniac ! :) En d’autres termes, ce jeu s’adresse aux membres inscrits.

Le principe du jeu concours est simple :

Pour suivre le thème de l’un des deux albums, “La vie de Norman” nous vous demandons de laisser un commentaire en nous racontant une de vos anecdotes lors d’un voyage scolaire.

Les 4 participants qui nous auront fait le plus d’effets (rire, joie, larmes) au jury (composé de l’équipe de Makaka et nous même) , gagneront un des deux albums!

Les deux premiers pourrons choisir l’album qui les intéresse et les deux derniers repartirons avec un des deux albums restant.

Vous avez jusqu’au Vendredi 14 Octobre minuit pour participer :)

Alors, lâchez vous !

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Le Passeur d’Ames 1

Paru le 13 Octobre 2011 chez
MAKAKA
(Editeur)


3.3
/ 5

14 commentaires

Avatar viper82
Membre

Ok, je participe.

Mais… ce ne sera pas drôle… d’aussi loin que je me souvienne, mes voyages de classe se sont presque toujours mal passés.

Tout commence au CM2, alors que nous devons passer une semaine à visiter les châteaux de la loire.

Nous voyageons tranquillement sur l’autoroute, quand tout à coup PAF, un pneu qui éclate.

Résultat, une demi heure sur le coté de l’autoroute à attendre un camion de secoure qui est venu nous changer notre pneu.

Puis, nous arrivons en 4ème, nous devons nous rendre sur l’un des éléments de la ligne maginaux, à deux classes, donc, deux bus.

Je me souvient vaguement que nous nous sommes fait dépassés par la droite par une clio, qui, se rabattant trop rapidement devant nous, est venue heurter la glissière centrale, provoquant ainsi une collision entre nos deux bus à cause du freinage d’urgence. résultat : 2 classes sur la bande d’arrêt d’urgence, devant attendre 2 bus de remplacement.

La fois suivante, se déroule encore une fois en 4ème en Angleterre, un peu moins épique, mais notre bus a tout de même été vandalisé pendant une nuit résultat une vitre brisée.

Dernière anecdote de voyage scolaire, une semaine en écosse en seconde, nous étions systématiquement hébergé des des quartier "populaires" ou trainait de nombreuses bande de jeunes, un soirée de sortie, nous nous sommes fait poursuivre par un bon nombre de jeunes armés entre autre de club de golf. heureusement pour nous, pas de victimes, mais nous avons eu écho, qu’une autre classe d’une autre région s’est faite attaquée à la batte de baseball et l’un des élèves à fini sa nuit à l’hopital.

Haaaa les anecdotes de voyages scolaires… toujours épic XD

Par
viper82,
Le 06 Octobre 2011 à 11:45:40


Staff

Alors moi j’étais parti en "classe neige" dans les Pyrénées quand j’étais en primaire. Mais arrivé sur place, grand soleil et pas un poil de neige.

On s’était donc rabattu sur des activés de plein air du type vélo, randos, sports, …

Mais moi je voulais vraiment faire de la luge !

Donc j’ai pris une planche de contre plaqué et me prépara pour une belle descente sur gravier. Seul souci : pour me tenir je devais garder mes doigts sous la planche. Soit entre les graviers et le bois.

J’ai encore des cicatrices…

Par
stArk,
Le 06 Octobre 2011 à 14:11:10

Avatar Catherine27
Membre

En camp on est allé à Noirmoutier faire de la planche à voile. Au début on apprenait à se tenir sur la planche avec un camarade qui nous poussait gentillement. On était bien équipé, combinaison, gilet de sauvetage, sandales. Sauf que moi je n’ai jamais réussi à faire de la planche à voile…lol.! Un jour j’ai réussi à tenir debout sur ma planche en tenant ma voile et je me suis éloignée petit à petit du rivage. J’étais toute fière de tenir debout. Mais quand j’ai essayé de faire demi-tour, impossible, à chaque fois que je tournais ma voile, je tombais à l’eau. Je voyais mes amis au loin me faire des signes mais ils devenaient de plus en plus petits, je remontais sur ma planche, je reprenais ma voile qui était lourde et hop un coup de vent et à nouveau à l’eau. Je n’avais plus de force. J’ai même perdu une sandale et pour la récupérer, j’ai voulu plonger, mais avec le gilet de sauvetage, ça a fait ressort…lol…! L’océan atlantique commençais à se réveiller et la nuit à tomber. Personne à l’horizon, ni moniteurs, ni amis, je commençais à avoir froid et à m’inquiéter… Mais par chance un petit bateau de pêcheur avec 3 hommes à bord est passé par.là et ils ont mis tout mon attirail sur leur bateau et m’ont ramené au camp, sauf qu’ils ne m’ont pas déposé sur la bonne plage…lol…et que j’ai dû tout porter encore pendant un sacré bout de chemin dans le sable.! Quand je suis arrivée au camp, tout le monde était à table en train de manger et personne ne s’était inquiété de ce qu’il m’était arrivé. J’ai ensuite raconté mon histoire, mais cela n’intéressait personne…lol.! Plus jamais de ma vie je ne referai de la planche à voile….lol.!

Par
Catherine27,
Le 06 Octobre 2011 à 18:32:17


Membre

Alors moi j’étais partie avec ma classe en 5ème direction l’espagne.

Devant être hébergé dans diverses familles d’accueil, ma copine et moi, nous nous sommes retrouvé chez une dame vivant seule. En journée on était avec les classes, le soir chez elle et le seul repas que l’on avait le droit d’avoir était des oeufs sur le plats, salade verte et un flamby en dessert.

Un soir, alors que l’on se faisait chier, nous avons demandé à la dame de nous laisser partir de chez elle, histoire d’aller se promener. Elle nous a laissé sortir, mais sans nous surveillé (un peu pas trop le droit de sa part vu que nous étions mineure et sous sa responsabilité la nuit)

Nous sommes allé nous baladé dans le centre ville de madrid, puis on est rentré après s’être perdu un bon nombre de fois, et en arrivant chez la dame, on ouvre sans frapper et arrivant dans le salon, une quinzaine de personne se trouvait là dont la femme.

Et tous étaient assis par terre a se donner la main, avec des bougies et autres trucs bizarre

(désolé je me rappelle pas de tout des détails, car dès qu’elle nous a vue, elle a accouru vers nous et nous a dit de repasser dans deux heures)

enfin bref…. depuis j’ai arrêter les cours d’espagnol et je ne mange plus de flamby.

Par
Uim Caniia,
Le 06 Octobre 2011 à 19:03:54


Membre

Afin de préserver le peu d’humanité qu’il y a en moi, mes parents avaient décidé de m’envoyer en cours dans un collège et lycée Jésuite.

Forcément, qui dit éducation religieuse, dit aussi première communion…confirmation…précédées par une retraite de quelques jours en campagne.

Et pas évident de tenir de jeunes adolescents à une certaine tenue alors que nous ne pensions qu’à une chose : aux femmes, aux jeux et à l’alcool.

Un soir donc, on se retrouve en bonne compagnie, une poignée de garçons et filles pour une partie de "strip poker" autour d’un vieux puit présent dans le parc du chateau qui nous accueillait.

Certains gagnent, d’autres perdent, boivent, se déshabille, et ce soir là, j’avoue je n’ai vraiment pas eu de bon jeu 🙂

En une demi heure je me retrouve en slip chaussettes avec déjà quelques verres dans le gosier.

Quand soudain résonne dans le parc la douce voix du père qui avait eu vent de nos petites activités nocturnes.

Ni une ni deux, mes compères détalent et me laissent avec les cartes, l’alcool et mes habits en vrac.

N’écoutant que mon courage j’ai récupéré mes affaires et une bouteille et engageait alors une course poursuite dans le bois avec un prêtre, et la science m’appris ce soir là qu’un homme en chaussettes dans un bosquet humide arrivait tout de même à distancer un prètre en toge et sandales, même si il est super énervé.

Le fin mot de cette histoire c’est que j’ai passé une partie de la soirée planqué dans les bois, en ayant peur que le prêtre campe devant l’entrée du château pour m’attraper au retour. Heureusement j’avais à boire, mais l’humidité m’a collé une crêve d’enfer durant la semaine suivante.

Ce soir là j’ai aussi validé mon badge du parfait Bear Grills Junior.

Par
El Chikito,
Le 06 Octobre 2011 à 19:54:36

Avatar Shino
Membre

Alors moi, c’était l’année dernière avec ma classe de BTS, on était parti à Saint-Malo.

Donc la deuxième nuit passé à l’hôtel (on était 3 par chambre), J’étais avec l’un de mes potes tranquillement, on regardait la télé puis le 3e arriva pour nous dire qu’il allait dans la chambre d’à côté avec des autres, en nous affirmant qu’il allait pas revenir bourré. On le laisse y aller, nous on regardait Columbo (hommage à lui en passant), bref, arrivé 3h du matin, il rentre normalement, se pose dans son lit.J’éteinds la télé, pcq il allait dormir et que l’autre pote dormait déjà, puis 5 min après je l’entends partir au toilette pour aller gerber et ce pendant toute la nuit. Donc il était rétalé par terre, la tête dans les toilettes ensuite il retourna dans son lit mais là il voulait pas se lever pour aller au toilette, donc il a pri la poubelle et il a gerbé dedans. Moi j’étais dans le lit du haut, alors les odeurs montaient, donc moi arrivé à un moment je suis parti de la chambre pcq c’était plus supportable (l’autre dormait toujours), donc je sors je vois un pote, je lui dis que ‘ il est complètement bourré, il fait que gerber ‘, il commence à se marrer et le dit aux autres, mais les autres directement, ils voulaient voir le spectacle, mais je leur ai dis que non y’a encore l’autre qui dort. Y’en a un il voulait vraiment mais j’avais la carte d’accès, donc je lui dis nan, il commence à s’énerver et à me gueuler dessus, donc machinalement, je suis reparti dans ma chambre pcq il m’avait gonflé, mais me revoilà de nouveau dans la chambre avec une superbe odeur.

J’attends le matin, on se lève tous, moi et mon pote on voit qu’il avait gerbé une substance noir vraiment bizarre, y’en avait plein la poubelle, puis plein ses draps, c’était dégoutant de voir ça le matin avant le petit déjeuner.

Donc on est parti laissant la chambre dans l’état, on a pri notre douche dans une autre chambre pcq dans la notre c’était pas possible puis on est parti (c’était la dernière nuit).

Fin mot de l’histoire, ne faites pas confiance à quelqu’un qui vous dit qu’il reviendra pas bourré, sachant que les autres potes s’étaient procurés de l’alcool, et si vous êtes dans la cas de la personne bourré, préparez-vous à voir des photos et vidéos de vous, pour vous rappelez ce que vous avez fais.

Par
Shino,
Le 09 Octobre 2011 à 11:04:25

Avatar Madienor
Membre

En classe de Terminal j’ai eu la chance de pouvoir partir avec ma classe à Venise, ville magnifique à visiter. On logeaient tous dans un petit Hôtel heureusement près de petit snack et bar incrustés un peu partout dans les ruelles, la nuit on pouvait aller en ville et disons rencontrer de belles italiennes. L’italien étant la seule langue étrangère que je maitrise je réussi ou tout mes autre camarade avaient échoués, c’est à dire intéresser une italienne en l’emmenant, en dehors de l’établissement ou on étaient, à un certain moment d’intimité une mouette décida de passer par là (fréquent à Venise…) et nous lâcha un petit cadeau qui brisa le cercle d’intimité que nous avions … La dernière chose que j’ai donc fait après ça a été de rentré me nettoyer les cheveux à l’hôtel …

Par
Madienor,
Le 09 Octobre 2011 à 18:18:14


Membre

Alors que j’étais en cinquième, je suis parti avec ma classe de l’époque en weekend a Strasbourg pour visiter le parlement européen. La visite était programmée le dimanche et comme nous arrivions le samedi la prof nous avait organisé une visite de la brasserie Kronenbourg (me demandez pas pourquoi cela reste un mystère encore aujourd’hui) toujours est il que lors de la visite nous étions surveillés de très prés par les profs, à juste titre d’ailleurs, toujours à vouloir nous prendre la main dans le sac à boire des bières en cachette, et évidement toutes nos tentatives se soldèrent par des échecs. Le soir nous dormions tous dans une auberge de jeunesse en bordure de la ville, dans des chambres de six, c’était pas mal la foire et surtout les toilettes étaient à l’autre bout du couloir c’est à dire très loin pour des gamins comme nous. L’un de nous d’ailleurs avait croisé des jeunes louches dans l’auberge et nous annonça qu’il était hors de question pour lui de se rendre aux toilettes en pleine nuit et de se faire assassiné ou violé par un junkie juste à cause d’une envie de pisser… évidement cela nous à beaucoup fait rire mais on a beaucoup moins rigolé quand il a sorti une bouteille d’eau vide de son sac et qu’il nous a dit vouloir pisser dedans. Forcement tout le monde s’est mis à le traiter de crado ce qui visiblement ne le dérangeait pas puis qu’il se mit face au mur et accomplit son forfait. Un mélange de dégoût, d’horreur, de fou rire et de respect nous envahis…, faut dire qu’on était bien con à cet age…et finalement ça nous a bien fait tous rigolé. Le lendemain ce sont des cris tonitruants de notre professeur qui nous réveillèrent:" AHAH bande de petits cons!!! J’en étais sur!!Je vous y prend la main dans le sac!!! Il brandit la bouteille pleine de pisse en criant: "De la bière!!! vous allez morflé les jeunes!!"…

ps: ahah bon je sais pas si ça vous a fait rire mais moi ça m’a bien plus de me remémoré cette histoire, peut être qu’elle finira en bd tiens 🙂

Par
Damien Henceval,
Le 10 Octobre 2011 à 22:41:30


Membre

Je ne sais ce qui se trame dans le cerveau des enseignants à la préparation des voyages scolaires. Mais là, ils avaient fait fort, (sans doute un lendemain de cuite) : car il avait été décidé de partir pour la verte campagne visiter une usine de lait !!! Je dois dire que pour les boutonneux de 5ème que nous étions la perspective industrielle, même au pays des bouseux, nous laissait plutôt amers.

Nous étions début 90, mais le car, bruyant, fumant et brinquebalant, semblait sortir tout droit des années 50 : outre un voyage au pays des usines, il nous fallait remonter le temps ! Mais nous étions ensemble et cela nous convenait.

C’est ainsi que nous entrions dans une Normandie perdue, fidèle à son humidité, aux portes d’une usine d’une marque de lait célèbre (mais dont j’ai aujourd’hui totalement oublié le nom).

Vous savez ce que c’est qu’une visite d’usine : c’est chiant ! surtout pour les gamins que nous étions. "Voilà le lait arrive ici…" etc…. (je vous passe le discours)…

A un moment donné, Tony me fait signe : "Hé Péji ! Péji !" Je n’ai pas mis longtemps à comprendre que lui et Ben avaient trouvé un salutaire échappatoire. Laissant la longue file des autres élèves intéressés par le processus UHT (y’en a), ou les autres plus motivés par la compagnie des jolies filles studieuses (c’est souvent studieux les filles, surtout quand les profs sont des beaux bruns aux allures sportifs)… Bref, Ben, Tony et moi filons par une porte dérobée.

Nous nous retrouvons libres, dans un autre atelier, essayant vainement de trouver une sortie, pour une bouffée d’air, et pour Tony-le-barraqué : quelques bouffées d’une clope que nous partagerions. Nous étions des aventuriers, des héros sans disciplines, de vrais cow-boys qui allaient affirmer leur esprit d’indépendance face au dictât des adultes.

Mais trois ados dans une usine, ça ne passe pas inaperçu : "Eh les mômes, vous allez où comme ça !" nous crièrent quelques ouvrières. "On cherche les toilettes !" (c’est dingue comme à 14 ans on manque d’imagination). C’est alors qu’une autre cria ‘Laisse, j’m’en occupe’. Je risque de vous décevoir, mais la dame en question semblait plus proche de la retraite que du concours miss Normandie.

Mais au lieu de nous reconduire vers le groupe, nous voilà dans une pièce agréable, éclairée par de larges baies.

– C’est chiant la visite hein les gars !

– euh, on cherchait les toilettes tenta Ben une nouvelle fois !

– Eh les mômes, ne m’prenez pas pour une idiote. J’vous mangerez pas !

Personne n’osa rien dire.

– Bon, allez vous s’en faites pas : vous voulez quelquechose : café, soda… j’vous offre pas d’lait : il est dégueu.

Et sortant un paquet de cigarettes : – vous en voulez une ?

Tony bien sûr, en vrai caïd, se servit, et à son exemple tentions l’aventure interdite.

Le seul problème, c’est que cette gentille dame fumait des gitanes maïs…

Pour une première c’est pas génial, car quelques secondes plus tard je fus pris d’une envie de nausée suivi de près par Tony et bientôt Ben…

C’est ainsi que nous finissames tous trois aux toilettes à gerber !

C’est Mr Munch, notre prof principal, qui vint nous chercher, blêmes, verts, vidés…

Il nous accompagna dehors et l’on voyait sur ses lèvres un petit sourire moqueur. Il poussa même jusqu’au cynisme en nous demandant : "Vous en voulez une ?" en sortant son paquet de clopes ! Après ces minutes libératrices à l’air pur normand, nous retrouvâmes nos camarades, nous proposant un bon verre de lait !!! "Où sont les toilettes !" fut une fois de plus notre cri de "guère" !!

Ce qu’on est con quand on est jeune !

Par
PJ,
Le 11 Octobre 2011 à 22:52:02

Avatar dinga
Membre

Tout se passe à Venise, fin de collège, hormones aux gardes à vous et conneries adolescentes en cascade. C’était l’époque des "Bombers", après une virée à 10 dans une superette italienne, nous ressortîmes avec 6 bouteilles d’alcool pour le prix d’une (Merci les bombers). Le soir à l’hôtel fut bouillonnant et bruyant pour les amoureux venus par malchance dans le même hôtel que nous. Je me revois encore à 3h du mat courir dans les couloirs et les vigiles aux fesses, incapables de nous rattraper (enfin si quand même mais plus tard).Il faut dire que nous avions trouvé le moyen de ne pas les croiser. On sautait d’un balcon à l’autre pour ressortir par une autre chambre. Vous comprenez les nombreuses plaintes le lendemain matin.

Par
dinga,
Le 12 Octobre 2011 à 08:44:45

Avatar dinga
Membre

Tout se passe à Venise, fin de collège, hormones aux gardes à vous et conneries adolescentes en cascade. C’était l’époque des "Bombers", après une virée à 10 dans une superette italienne, nous ressortîmes avec 6 bouteilles d’alcool pour le prix d’une (Merci les bombers). Le soir à l’hôtel fut bouillonnant et bruyant pour les amoureux venus par malchance dans le même hôtel que nous. Je me revois encore à 3h du mat courir dans les couloirs et les vigiles aux fesses, incapables de nous rattraper (enfin si quand même mais plus tard).Il faut dire que nous avions trouvé le moyen de ne pas les croiser. On sautait d’un balcon à l’autre pour ressortir par une autre chambre. Vous comprenez les nombreuses plaintes le lendemain matin.

Par
dinga,
Le 12 Octobre 2011 à 08:45:17

Avatar maryneuh
Membre

Je participe aussi ! C’était un voyage scolaire au Futuroscope. Il y avait des passerelles qui passaient au bord de l’eau (bon je ne sais pas si ça y est toujours, c’était il y a 15 ans !). Je me souviens des recommandations des instits "Ne marchez pas au bord de l’eau ! " "On ne se penche pas au bord de l’eau !" "On ne cherche pas à regarder s’il y a des petits poissons !" "Le premier qui tombe dans l’eau je le défonce !" (oui bon pour celui-là je doute que les termes employés étaient ceux-ci).

Donc on a marché et la passerelle faisait un angle droit… mais je regardais à côté et je n’ai pas fait l’angle, j’ai continué tout droit. Je suis donc tombée dans l’eau. Mais pas une chute de looser, une chute de compét : telle une brique, droite comme un i, je n’ai même pas eu le temps de réaliser. Avec mes vêtements, mon sac, mon pique-nique. Magnifique.

Mais les instits n’ont pas tenu leur promesse, ils étaient trop dépités pour me crier dessus et trop occupés à courir vers le bus pour trouver ma valise et des affaires de rechange. Et puis en plus, je peux le dire, il n’y avait pas de petits poissons dans l’eau au final.

Par
maryneuh,
Le 12 Octobre 2011 à 19:35:05

Avatar meganyolo
Membre

Petite anecdote sympatique.

Au lycée dans le privé nous étions dans le cadre d’un voyage scolaire en Slovaquie.

C’était un échange qu venait de se créer suite au désistement d’un autre établissement scolaire.

J’avais donc un correspondant qui était venu passer quelques jours chez moi. Je devais faire le voyage retour quelques mois après.

Peut de temps avant notre départ, on m’informe alors qu’il s’est fait virer de son établissement !!!

Ma copine devait elle aussi faire le voyage mais comme nous n’étions pas dans la même classe et elle n’avait pas eu de correspondant à venir chez elle.

C’est une prof un peu stricte qui gérait les attributions des correspondants pour notre départ.

Or, au dernier moment on m’informe que finalement ce n’est pas mon correspondant qui est viré mais celui qui devait accueillir mon amie….

Je me suis tout de suite senti soulagé j’allais retrouver mon homologue slovaque.

Lui aussi était content de me retrouver et s’était proposer en solution de dernière minute pour héberger ma copine…..

Lorsque notre professeure nous a annoncée les familles d’accueil elle s’est figée lorsqu’elle s’est rendue compte que nous étions tous les 2 dans la même, nous lui avons alors fait notre plus beau sourire de contentement…

Depuis j’adore la Slovaquie !!!!!

Par
meganyolo,
Le 12 Octobre 2011 à 23:43:41


Membre

Bonsoir 😉

En Bulgarie, je me rappelle qu’on était logés dans un village Paumé mais grave. Sur les 7 maisons qu’il comportait, trois étaient habitées par des vieillards. Il y avait une seule épicerie, et le "centre" du village était constitué d’une grande bâtisse abandonnée. Notre centre d’hébergement était un peu plus en hauteur.

Un soir, avec deux copines et cinq mecs bulgares, on décide de sortir en douce.

alors première surprise, il n’y a pas de lumière la nuit. Donc on a tous avancé sur la route (oui parce que la seule et unique allée goudronnée était en fait la route nationale qui traversait ce village) éclairés par la lumières des portables et ipods. Un moment on entent un gros bruit dans les feuillages et une méga grosse ombre qui avance vers nous on a tous eu la trouille,j’ai cru que c’était ma dernière soirée sur Terre… les mecs se sont tous enfuis sauf un qui nous a prises dans ses bras (un vrai gentleman) en nous disant ‘n’ayez pas peur je suis là, au pire je serai premier à y passer’ etc….et finalement, il s’est avéré que c’était….une vache!!!!

Un genre de vache sauvage et bulgare en plus….^^

Par
Iwona46,
Le 15 Octobre 2011 à 00:01:51


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