Sam Lawry 5 : Vyshaya mera, marina ...

Un récit d’espionnage psychique au cœur de la guerre froide et des années 1970. Center Lane… C’est le premier nom d’un programme d’espionnage psychique américain qui s’appellera plus tard Stargate. Center Lane stigmatise à lui seul la guerre extrême à laquelle se livrent la CIA et le KGB. De part et d’autre du rideau de fer, des hommes enfermés dans des pièces totalement... Cliquez ici pour voir la suiteCenter Lane… C’est le premier nom d’un programme d’espionnage psychique américain qui s’appellera plus tard Stargate. Center Lane stigmatise à lui seul la guerre extrême à laquelle se livrent la CIA et le KGB. De part et d’autre du rideau de fer, des hommes enfermés dans des pièces totalement grises s’espionnent par la pensée. Peu nombreux sont les « Remote Viewers », les hommes développant ces étranges capacités. Alors forcément, Sam Lawry et son don particulier de voir la mort peu de temps avant qu’elle ne se présente est une recrue de choix pour Center Lane. Center Lane a dans le collimateur « Sacha », une taupe qui ronge la CIA de l’intérieur et que cette dernière traque en vain depuis des années. Sacha que le KGB doit couvrir quel qu’en soit le prix. Et ce prix va, une fois de plus, paraître très cher à Sam Lawry… Cliquez ici pour réduire le texte. Center Lane… C’est le premier nom d’un programme d’espionnage psychique américain qui s’appellera plus tard Stargate. Center Lane stigmatise à lui seul la guerre extrême à laquelle se livrent la CIA et le KGB. De part et d’autre du rideau de fer, des hommes enfermés dans des pièces totalement grises s’espionnent par la pensée. Peu nombreux sont les « Remote Viewers », les hommes développant ces étranges capacités. Alors forcément, Sam Lawry et son don particulier de voir la mort peu de temps avant qu’elle ne se présente est une recrue de choix pour Center Lane. Center Lane a dans le collimateur « Sacha », une taupe qui ronge la CIA de l’intérieur et que cette dernière traque en vain depuis des années. Sacha que le KGB doit couvrir quel qu’en soit le prix. Et ce prix va, une fois de plus, paraître très cher à Sam Lawry…