Critique de Niourk 1 : L'enfant noir
Quel plaisir de retrouver OLIVIER VATINE en librairie. Avec NIOURK 1, il inaugure la collection “Les univers de Stefan Wul” édité chez Ankama en partenariat avec Comix Buro. C’est dire s’il avait à cœur cet album pour impliquer sa maison d’édition dans le développement de cette collection.
Et le résultat est là. Ne connaissant pas les oeuvres de Wul, je ne pourrais pas juger par comparaison. Mais la lecture de Niourk 1 m’a enchantée comme à l’époque, la lecture d’Aquablue 1.
Cette histoire était pour Vatine : une terre post-apocalyptique victime de ses excès, des survivants humains regroupés en tribus, des poulpes mutants évolués, un enfant noir rejeté par sa tribu en guise de héros. Un cocktail de premier choix dont l’auteur s’est accommodé avec tout le talent qu’on lui connait.
Bel album, belle maquette, finition soignée avec bonus et preview des prochains albums et des autres séries. Une collection de prestige bienvenue alors que la SF se fait trop rare en BD à mon goût.